L’été touche à sa fin à l’orée des chemins calcaires qui dessinent le frontière entre des vignes à perte de vue et des forêts champenoises riches en légendes. Il s’éloigne un peu plus de son passé de campagne dont son urbanisme professionnel ne fera qu’une bouchée. Adieu, veaux, vaches et bouchons millésimés. Son romantisme sublime s’évanouit en périphérie de la cadence folle d’une Métropole aphone, tous klaxons dehors. De l’église Saint-Denis de Sézanne, un Soleil en Champagne, au cœur de la Seine Saint-Denis, un département en marge, il n’y a qu’un pas, un pas de plus vers une fuite en avant de lui-même.

Le sempiternel mois de septembre point et présage une nouvelle bataille à gagner contre la force de l’amour de son métier et l’inertie de son écriture. Il fait du sur place sur des pages blanches tout en rêvant de grands voyages. Prochaine étape… Montréal.